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J’eusse aimé moi aussi que l’on disserta de sujets légers.. Ainsi, réconcilié avec la presse pour un week-end, ai je lu dans le figaro magazine « fonctionnaires la vérité »… Je vous épargne le commentaire… D’autant que j’ai passé bien plus de temps à lire en page 58 du figaro madame « lingerie immaculée »… On se demande quand même qui fit le titre. Titrer lingerie maculée, culotte souillée ou le dindon a les yeux rouges, c’est pas figaro (je vous conseille page 65 « original, string jupette en tulle plumetis »)…
Bref, lingerie immaculée relève quasi presque de la faute de goût. Voici le sujet du présent écrit qui s’annonce habilement : la faute de goût… Elle peut être mortelle. Ainsi, l’épineux problème de la circulation routière et plus précisément, du clignotant.
Figurez vous qu’il existe dans la plupart des véhicules, un outil merveilleux, un must de la technologie numérique : le clignotant. Il signale à autrui que votre véhicule d’une tonne, lancé à bonne vitesse, va changer de direction. Cela permet aux autres véhicules et à leurs occupants
d’éviter le contact ou l’agacement, la fracture du plateau tibial ou l’ulcère gastrique.
Nonobstant, certains conducteurs refusent l’aide de cet outil… Faute de goût. Que nos véhicules aient un jour à se heurter de face, nous faisant passer le tibia à travers la cavité buccale, peut certes se produire, clignotant ou non. Dieu seul sait où et quand. Fata morgana.
Pire que cette mort brutale et tragique : l’agacement perpétuel de songer que des êtres humains se comportent comme si n’étiez que valeur négligeable. Ils tournent où et quand ils veulent, sans prévenir, ces fourbes. Parfois, ayant joué avec leur playstation peu avant, ils vont même jusqu’à exécuter l’appel contre appel qui, par le biais du transfert des masses, inscrit mieux leur véhicule dans la courbe. Cependant, vu de l’arrière, l'automobile oscille brusquement vers la gauche. Vous vous faufilez doucement vers sa droite, et là, paf, le fangio tourne à droite. Contact, …, ou agacement.
Ce type de comportement irrite le Liberagneugneu. Comment songer qu’un individu soit spontanément aussi égoïste ? Faut il des lois pour ces gens là ? Ces lois nous protègent elles vraiment de la bêtise ? Sans passage piéton, les gens se jetteraient ils sous les roues des véhicules ou regarderaient ils mieux avant de traverser ? L’humain ne serait il pas un peu négligent ?
Autant d’interrogations fondamentales, à la source du modèle libéral…
Liberagneugneu, selon son humeur, aime à rappeler à l’homme de la rue combien la philosophie, l’observation de la nature, sont riches d’enseignement. Parfois, mais toujours avec grâce, le Liberagneugneu s’approche à portée du véhicule fautif, et de la pointe de ses bottes légères, décroche un violent coup de pied, si possible dans le clignotant, que de toutes façons le chauffard n’use guère. Pour rappeler la théorie qui fonda son comportement, il adresse quelques mots au pecum :
« Va te faire enculer, trou du cul sans fesse. »
Gaz, roue arrière, le majeur pointé vers les étoiles, comme une exhortation au ciel.
La réflexion comme base du comportement, à l’opposé de l’impulsivité animale….
6 commentaires -
Je n’ai point en amour d’idée originale
Allant à ce propos comme nombre de mâles
Je rêve de courbe ferme propice à la caresse
Et des lieux parfumés qui vivent près les fesses.
Non que je détestasse la fille bien lubrique
Hyène fort excitée aux caresses subtiles
Qui va sans retenue de son derrière habile,
Et vous flatte le cul pendant qu’elle s’astique…
Je rêve alors que se profile la vieillesse
De conserver longtemps ces envies ces élans
Chaque soir, reposant, ayant quitté mes dents
Que mon cerveau sénile imagine des fesses.
Plus que ruts effrénés, filles dévergondées
J’aspire à retrouver, pour un instant encore
Les émois sans pareil et tellement plus forts
Que seul homme amoureux ressent pour son aimée
Je voudrais même si cela est bien banal
Etre amoureux encore, baigner dans la passion
Adorer vénérer oublier la raison,
Lui offrir tout de moi, sauf le toucher rectal
Pour me complaire encore dans la banalité,
Je dirais que l’amour vaut tous les excitants
Les calmants les remèdes et les euphorisants
Qui vous laissent au matin comme pauvre homme usé
Aurai je encore un jour, cela seul dieu le sait
L’occasion de l’amour, passion déraisonnée
Vous qui êtes bien belle, et moi qui suis bien laid
Me recommandez vous à la veuve poignet ?
Un peu d’amour après l’agressivité du Liberagneugneu… une poésie classique, à conseiller aux étudiants de France.
Quoi qu’vous dites ? Une autre ??
Ok, OK, je commence
« Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. »
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Laissez moi vous conter, amis de ma tristesse,
La ballade écourtée de José et Laurie
Deux enfants emportés au soir de leur jeunesse
Par les tourments infâmes de la maladie.
Ils avaient la beauté de certains trentenaires,
Les visages marqués d’avoir trop abusé
Des doses interdites de poisons amers
Qu’un soir vous rencontrez et jamais ne lâchez
Tels ces marins usés n’écumant plus les mers
Ils demeuraient à terre, rongés par le souci
Attendant chaque jour la fin de leur sursis
Abrutis par l’eau trouble de petites cuillères
Où il faisaient bouillir cette mixture sale
Qu’ils poussaient à grand peine dans des veines durcies
Et puis les yeux mis clos, le visage très pâle
Ils plongeaient dans les rêves, souriant à demi
Ces deux amis si chers, ont glissé vers la mort
De façon bien pénible, inéluctablement
José fut le premier à voir faiblir son corps
Laurie se retira quand fut mort son amant
Aujourd’hui orphelin de mes amis d’hier
J’exhorte les gamins empreints de solitude
A ne pas aborder les chemins de l’enfer
D’aller plutôt vers la positive attitude
1 commentaire -
ils ont du se fourvoyer dans le figaro. la police ne peut pas distribuer autant de pv en si peu de temps de travail. remarquez, ils ont des composteurs automatiques. s'ils ne perdent pas de temps à se tirer dans la bouche, c'est faisable...
hier, le fils de mon associé à toulouse et mon neveu à paris se sont faits racketter ? c’était pas la bonne heure…
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Bon, ça y est, c’est l’écœurement total, phénomène récurent chez moi… peu importe, mais soyez prévenus… mes propos vont friser l’outrance…
Postulat : comment la population française peut elle cracher sur la main qui la fait bouffer et baiser celle qui la harcèle, l’étrangle et la garrotte ? comment peut on haïr les entreprises qui nous font bouffer, leur associer une image négative et avoir une bonne opinion de la fonction publique ? Ceci dit sans idéaliser en rien l’entreprise.
Réponse : grâce en partie aux campagnes de l’extrême gauche voilà quelques années… pas de grand soir, juste une « évolution » des esprits… pile dans la mauvaise direction. Entamons le mouvement inverse.
Attention, pas de Besse ou Aldo Moro. Il faut être con comme Brunerie pour tirer sur un Chirac. Petite vie gâchée à jamais. A long terme, ça ne rapporte rien. Des technocrates, l’ena en chie tous les jours.. un vrai choléra. Pire que le spam et la gastro entérite. Ceux là n’ont de cesse de fabriquer des usines à gaz, des machines à faire l’eau sèche, à calibrer les trous du cul à la commission de Bruxelles. L’état n’a d’effet que négatif. Il faut qu’il pèse le moins possible. Il n’aide jamais en rien mais toujours entrave. La machine doit reculer mais tuer ses agents serait cruel et inutile. Faut être con comme les membres d’action directe pour croire le contraire. Plus jeune, ils me faisaient un peu rêver, genre robin des bois. Et puis un jour, j’ai entendu parler leur leader…. Raymond la science.. Ah, le guignol… genre fac socio années 70. Marxisme pur jus. Et ils ont tué pour ça… remarquez, tuer pour le grand soir, les aryens ou les 70 vierges.. bon…
Moi, j’y crois pas au bonheur social. Je demande juste à vivre un peu tranquille, à ne pas être harcelé pour tout dans l’existence, par des gens dont c’est l’honneur et le métier.
Il faut donc se fixer pour objectif que les français, en entendant administration, songent à Kafka le juste, à Papon, associent l’idée à inefficacité, mafia, racket, privilèges. Caillassage… non, pardon.
Cela dit, si l’ultra violence était utile, je n’hésiterais pas à appuyer sur la gâchette. Je ne crois pas en la damnation éternelle, et dieu, je l’emmerde.
A propos, Marx, il a écrit un truc immonde (pas qu'un d'ailleurs) : « de la question juive », le mein kampft de la gauche..
(http://palissy.humana.univ-nantes.fr/labos/cht/biblio/mots/mot82.htm)
Pourquoi ne cite t on que ses autres ouvrages et ne réédite t on pas celui là depuis 1968 ? Ca remettrait les pendules à l’heure, surtout en cette période…
3 commentaires
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