• chaud au cœur vos commentaires.

    voila que j'étions en vacances. 20 ans après, je suis retourné en Thaïlande. Comme elle a changé, la terre des Siams.

    moi aussi certes...

    on peut bouffer sans risquer l'infamante diarrhée genre Niagara, se déplacer sans se battre avec le taco, et dormir au doux son de la clim... ah, la boue du nord de mes 20 ans, l'opium (ils ont tout arraché).

    j'ai l'impression d'avoir passé 8 jours dans une carte postale.

    je ne suis véritablement entré en rien, pas même en une chatte pubère (allez allez, vous l'attendiez).

    je suis passé devant des filles criant "somebody wants to fuck me ?" comme ça. faut dire, payer pour du hiv. j'en ai plein gratuit dans la clinique.

    y avait même la télé, la même télé qu'en France ou ailleurs. j'ai regardé avec tristesse les Israéliens quitter leur terre, leurs jolies maisons pour les abandonner à de "braves musulmans" qui vont leur apporter le Hamas et autres ben laden, appauvrir comme partout l'économie et faire des femmes des esclaves voilées sans existence. et pour le coup, il sera où le grand progrès ?


    2 commentaires
  • « Bienvenue, monsieur de Villepin.

    « Mes hommages, gueux jovial.

    « Votre majesté a t elle un message à délivrer ?

    « Un fort simple message, qui tient finalement en deux mots, un message simplicime, clarissime : la précarité relative de l'emploi salarié altère quelque peu l'image de modèle idéal et universel que la France, pays éternel des droits de l'homme, patrie de l'égalité républicaine, tient à véhiculer dans ce monde de brutes américaines et autres mondialisateurs sauvages..

    « Roooooooonnnnnnffffffl

    « Ou dit d'une autre façon..

    « Non, par pitié votre altesse. Une question d'Ignatius, commerçant à Loche, dans le 37. « Si vous désirez voir baisser le chômage, pourquoi ne pas empêcher l'employeur d'employer par vos incessantes et pitoyables tracasseries administratives, vos pesantes taxes, vos contrôles sur les contrôles et autres positions staliniennes partout ailleurs abandonnées ? ». Autrement dit votre hauteur, pourquoi ne pas nous laisser vivre ?

    « Ah, ah, diantre, le gueux, vous êtes bien cru et bien vert avec homme de mon rang. Je vous explique : l'état sait tout, voit tout contrôle tout et surtout taxe tout car il s'agit de financer les fonctionnaires qui l'élisent, leur retraite et toutes ces innombrables fêtes, commémorations réceptions qui honorent la France, terre éternelle des droit de l'homme. Le bonheur du peuple, l'égalité républicaine et ...

    « Stop. Votre baronnie, les yeux dans les yeux...

    « Pouah, quelle répugnante suggestion

    « Ta gueule. Ne sentez vous pas frémir, à l'approche du 4 aout, quelque mauvais penchant du peuple français ?.

    « Ah Dieu. J'eusse aimé que l'on ne fit point référence à cette horrible révolution qui mit fin à  nos privilèges..

    « Ah bon, auxquels privilèges faites vous référence ?

    « Et bien... Euh.... Je vous somme d'être moins insolent, ou vous aurez affaire à mes services fiscaux. »

    Monsieur le marquis se lève, toussote et quitte le plateau.

     

    Chacun ici est finalement est soulagé : il appert que le flamboyant n'est qu'un enculé.

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