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    Où nos amis s'accordent une pause récréative.

     

    Rassuré par la tournure des évènements, et fort désireux de me rincer la bouche avec quelqu' alcool fort voire bonne eau de javel, je proposai à mes compères une escapade chez mon amie Cunégonde. Nous nous fréquentions depuis la communale. J'ai encore en mémoire sa frimousse lorsqu'elle vint se placer à mes cotés pour le concours de crachats, à la récréation. C'était il y a fort longtemps. Nous avions, mes amis et moi même, constitué une cible ingénieuse sur laquelle nous nous entraînions quotidiennement. J'étais particulièrement doué pour les glaviots bien jaunes, voire verts. Rackkkk ptttou. Dans le mille. Ce jour là, Cunégonde à mes cotés, je brillais comme jamais avant. J'osais l'embrasser après un coup audacieux qui m'avait valu la victoire : mollard au centre, 100 points plus le bonus. Ca n'est pas moi qui devrais laver la cible avec la bouche aujourd'hui...

    Je n'étais pas peu fier. Quelques années plus tard, elle vint participer à nos concours sur cible. Simplement, nous ne crachions plus avec le même organe. Il fallait cela dit être fort adroit car les réserves s'épuisaient plus vite de cette façon. Passées 15 tentatives, vous commenciez à avoir un sérieux mal aux couilles.

    Cunégonde avait été la première à me montrer sa chatière, puis à me laisser jouer avec. Aujourd'hui, elle était une fort belle femme. Elle faisait songer à Caroll Baker dans Baby Doll. Elle m'autorisait tout, et plus encore. Pourtant, elle avait pour moi un défaut rédhibitoire : prise de boisson, il lui arrivait de zozoter ce qui me semblait parfaitement déplacé. Par ailleurs, elle avait un nom ridicule : D'upuy. Cunégonde D'upuy. Franchement, quel nom.. Non, je ne pouvais que lui donner mon amitié, en plus de quelques coups de verge. Le sort est bien cruel, le destin humain bien noir, qui fait jaillir l'étincelle de la passion au hasard des individus, faisant douter le philosophe de la réalité intrinsèque du concept de libre arbitre.

    Cunégonde trônait derrière son comptoir. Ah, Baby Doll.. Elle nous reçut avec chaleur.

    Elle nous installa derrière, au petit salon, et nous fit parvenir quelques rafraîchissements, un brouet, quelques cigarettes de hashish et trois morues à la cuisse légère. Nous fîmes honneur à notre hôte, qui nous fit vers 18 heures la grâce d'une visite. La garce était toujours aussi appétissante et je ne sus résister à l'envie d'une union du lotus, puis d'un moulin à vent. Elle insistait pour une fleur éclatée quand mes amis me rappelèrent à l'ordre.

    « Allons donc mon ami, quand sonne l'angélus.

    Pense un peu à Lulu et lâche ton phallus. » déclama LJ, tout en aspergeant joyeusement le fessier d'une rousse au poilu dindon.

    Tout le monde s'esclaffa et se leva dans la bonne humeur.

    « Amis, fit Cunégonde, essuyant du revers de la main un filet de sperme à ses lèvres, allons mon Gneugneu. Il est tant pour toi de retrouver ta belle et qui sait, d'envisager famille et petits Gneugneu. Que Dieu soit avec toi, que tu restes homme fidèle et que les érections te durent, et bien dures. »

    Nous l'embrassâmes tous trois avec chaleur. L'espoir était de nouveau en notre camp.

     

    Gneugneu aura t il famille et enfants ? Quel sera leur matricule à la sécurité sociale ? Combien Lulu pourra t elle supporter de césariennes avant l'éventration ?

     

    Ben vous avez qu'à lire la suite. C'est vrai quoi, vous êtes adultes. Enfin, j'espère.


  • Commentaires

    1
    Payet
    Samedi 15 Décembre 2012 à 08:06
    Video
    J'ai plus de dix huit ans ,j'en ai vingt neuf
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