• 1° couplet

    C’était une bell’enfant, une trop jolie gamine

    Et la voyant trimer se donnant sans relâche

    Chez l’Ambroise Paré,  cette raclure d’apache

    Les gens se demandaient pourquoi l’app’ler Sardine ?

     

    Alors, ouais, pourquoi qu’ils l’appelaient comme ça, les gens, ces enculés ?

     
    2° couplet

    Ben c’était sa collègue, une sorcière infâme,

    Qu’avait donné surnom, à cette pauvre femme,

    Tout ça car sa copine, qu’on appelait la Moule,

    N’aimait pas son surnom, qui lui collait les boules.

     

    Ah, les femmes, c’est pas des tendres…

     
    3° couplet

    Heureusement un jour, débarqua un bon prince,

    Qu’était gentil et riche, et qu’en plus était mince,

    Qu’avait bien de surcroît oublié d’être con,

    Et ben ce prince là, lui demanda son nom.

     

    Ouille, ça va chialer…

     
    4° couplet, si je compte bien (putain, bientôt fini)

    Elle se mit à genoux, elle lui saisit la main,

    Sanglota un bon coup, et déclara enfin :

    « On m’appel’ la Sardine, mais je mérite pas ça,

    Pour trouver plus sympa, tu peux te mettre un doigt.

     

    Et un bien gros 

    Je ne veux que l’amour, la douceur du foyer,

    Mais les filles de Paré, elles font que m’embêter,

    Elles font que me griller, parce que je suis Sardine,

    Ou elles me mettent en boite, parce qu’elle se croient plus fines.

     

    Excusez, je sais pas comment finir, c’est affreux, où vais je ?

     

    Dernier couplet

    Il la prit dans ses bras et lui fit : « Ma Sardine,

    Nous nous échapperons tous deux de cet enfer,

    Nous aimant par delà les terres et les mers,

    Mais il faut pour cela, que tu suces ma pine ,

     

    Ou si tu le préfères, que tu tailles ma mine,

    Et que de mon crayon, tu fasses une tétine,

    Bref tout ce que tu veux qui finisse par ine,

    Que je termine enfin cette douce comptine.

     

    Et là, elle se fâcha et partit faire un Lovenox au 228…..

     

     

    C’est pas toujours facile de composer..

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  • A C. dite Bernadette, de la clinique AP de Toul…
    Infirmière à l’œil bleu mais petit
     
     

    Toute de noir vêtue, tu braves la tempête,

    Et fais face aux rouleaux, et te ris des dangers,

    Oh fière demoiselle, qui relève la tête

    Quand tant d’autres ci bas, de peur auraient cédé.

     

    Je te chéris et t’aime, courageuse beauté,

    Toi qui jamais ne fuis, agrippée au rocher,

    Qui résistes toujours, aux plus furieuses houles,

    Je te chéris et t’aime, oh courageuse moule.

     

    Tout le monde ici bas, devrait prendre modèle,

    Sur cette fille là, à la fois dure et belle,

    Que j’aime marinière, gratin ou omelette,

    A l’ail, en sauce blanche, c’est toujours une fête.

     

    Je t’aime aussi poilue, mais c’est une autre histoire,

    Le destin a voulu, qu’en ces temps de disette,

    Je ne fréquente point, que j’aie perdu l’espoir,

    Et ne me reste plus que sites internet…

     
     

    Bon voilà. Un hymne à l’amour. Notre ministre  De Vilepin n’aime pas les moules sur les rochers. Qui a dit qu’il était flamboyant, ce bréneux médiocre ???

     
    Si vous êtes une moule jolie, contactez Libéragneugneu qui vous orientera vers le supplément d’âme qui vous fait défaut icéans ...

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  • Oh et puis merde, on l'aura pas voulue cette putain de guerre. C'est les verts les responsables.

    Nous on sera résistants. Un couple héroïque comme ils le furent pendant les années 40.

    Moi, vieux, 42 années, fort comme un chene : Pour reprendre Théophile, à cet age « le tronc va bien, c'est le gland qui inquiète »

    On aura eu un foudroiement, une de ces rencontres électriques. On se sera tout fait, tout promis. On aura partagé la complicité et les humeurs, les bons mots et les dégoulinures... on s'aimera quoi.

    Et puis viendra la guerre, la sale. On en verra tomber et pas des moindres, on en verra crever à chaque instant .

    Mais nous, on sera les résistants, on sera les intellos agissants, les sacrifiés à l'autel de la liberté et du libertinage.

    On tombera un jour au hasard d'une bombe, éparpillés vivants, les oubliés sans tombe.

    Mais arrivés au ciel, dieu, bien intentionné, nous laissera tous deux reposer et s'aimer..

    Et nous nous unirons en ton si joli fion, si tu veux oh ma belle

    Lubrifier ta rondelle..

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  • L'amour dure un à trois ans : cette révélation biologique a totalement dévasté les certitudes loyales du Gneugneu. En effet, il  appert de manière évidente, selon sa propre expérience, qu un ou trois ans sont une franche exagération. Ainsi, n'importe quelle fille ou du moins une grande majorité d'entre elles tiennent bien moins que cela. Un heure, tout  au plus, et le dindon est en feu... Alors trois ans, j'eusse voulu que l'on me montra la torride et lubrique hyène, que l'on me présenta la furieuse pour que j'en fusse convaincu.

    L'amour dure selon moi autour de quarante minutes, les jours de grande marée, lorsque les vents sont favorables. Après, l'alcool aidant, l'union devient plus solide. Le couple se construit et devient aussi palpitant que les rediffusions des chiffres et des lettres. Subtiles... En sept lettres.. Commençant par un sor, finissant par un dide. Je dis cela avec un immense respect pour la gent féminine, d'autant qu'il est évident que des oreilles indiscrètes voire familiales nous regardent. J'exagère..

    Stop, trêve de pseudo style... le fond de ma pensée. Ayant malencontreusement innocemment rencontré une personne, appelons là S., me voilà tout bousculé, parasité en chaque instant. Son visage, son regard, tout son reste. Ca me hante pire qu'un assassinat ou je ne sais quelle action mémorable dont on ne se défait jamais. Ca me tracasse à l'infini, le souvenir omniprésent de cette fille que je croise et recroise au quotidien. C'est sans déraisonner véritablement insupportable. D'autant qu'il s'agit d'un phénomène à sens unique, mon pessimisme naturel me le garantit.  Au pire moment, de surcroît, quand mon frère se meurt... Trois ans avant que ça passe ?? Plutôt me trucider avec une saucisse. C'est ça, le sentiment amoureux, ce truc que chacun souhaite, ce phénomène biologique transcendant que tous espèrent ? Sincèrement, c'est une véritable douleur, une torture de l'âme. Un paralysant glacial. Et puis moi, au bord de la sénilité. Ah jésus, mes pantoufles, ma télévision...

    Pitié, c'est trop insoutenable, cette tension qui n'est en rien purement sexuelle me domine et me navre. Hélas. Ah, je suis vieux, je me résigne mais soyons francs : un petit espoir me taraude et me ruine.

    Un problème sans solution n'est pas un problème, disent nos Africains amis.
    Il n'existe sur la planète des singes qu'une seule et unique guenon capable de m'affliger autant. Il fallait que je la croise.

    Bon, allez, je cours à la messe ou au bordel. Au bordel plutôt, mais ça sent la flanelle.

    Mon cerveau est pris de grand mal.

    Je me résigne : « la mort est la fin d'une prison obscure, pour les nobles âmes. »

    Je pense infini, je sais la nature changeante, la femme capricieuse, et l'ennui toujours au rendez vous. Je n'espère rien.

     

     

    Mais en attendant, ça travaille sévère dans ma cafetière...

    Toi, là, tu sais, avec ta petite couette, ton petit piercing... tu veux pas m'aider ??

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  • Farin ne serait il au fond qu'un gros crétin

    S'eut il pu que l'on vit un tel fat diriger ?

    Comment ce ventre mou aux bien tristes desseins

    A t il pu gouverner à notre destinée ?

     

    Il n'a pas même un camp, pas même une culture

    Et la droite et la gauche  ne sont pas ses repères,

    Il navigue au sondage, comme le font ses pairs

    Tantôt tournant sa veste, tantôt rasant les murs

     

    Insulte véritable au camp des libéraux,

    Il aime à fréquenter les leaders syndicaux

    Dont plus aucun français n'accepte les idées

    Las qu'ils sont de se faire chaque matin plumer

     

    Par des commis d'état si vils et corrompus

    Fonctionnaires bien gras, privilèges acquis

    Intermittents chômeurs enfin je ne sais plus

    Tant pullulent ici parasites et marquis

     

    Farin croit que la France est une exception

    Ni jungle ni goulag n'y pousseront jamais

    Farin et le courage sont notions opposées

    Ses poses ses ni ni sont abomination

     

    Que les poils de ta barbe, en poussant à l'envers

    T'étouffent un beau matin ainsi que tous les tiens

    Voici le sort promis aux traites que tu sers

    Nous libéraux hurlons : tu n'es qu'un rat Farin


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