• comment j'm'arrache le ionf

    poème courtois, ode à une belle blonde, pleine d'esprit... du moins le supposais je, le net étant plein de surprises.

    Seulement vingt huit jours, quatre courtes semaines

    Et nous serons châtiés, du fouet et de la chaîne

    La douce mais sévère a rompu ses amarres

    Elle gagne la mer, maîtresse de grand art

    Nous ne saurons jamais qui vécut sous ce trait

    Elle n’eut point voulu nous confier ce secret

     

    Demain si le destin m’accorde quelque chance

    Elle m’apercevra, pauvre être fort tremblant

    N’ayant guère d’attrait, puisqu’on m’ôtât les dents

    Irrité que je fusse morveux plein d’insolence

    Sélène songera à mes écrits salaces.

     

    « Non, Liberagneugneu, pour toi aucune place… »

     

    bon d’accord, je m’en vais.. (vous avez remarqué les premières lettres de chaque vers.... classieux, n'est ce pas)

     non ?? bon, tant pis

    "QUI NE TENTE RIEN QU A LA FIN ELLE SE CASSE" dit la sagesse populaire

    « Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin justifie les moyens », ajouterais je.

     

    Et pis « qui tire la chasse perd sa place », dit le Liberagneugneu

    « Qui pisse au vent se rince les dent s » dit mon Petitgneugneu..

     

    Ah, la poésie

     

    Sélène, que les forts vents te guident vers ta destinée…. Je ne te souhaite pas le bonheur, je ne le souhaite à personne…


  • Commentaires

    1
    Lundi 11 Avril 2005 à 13:53
    "Incarcérée" depuis le...
    2 février et de retour seulement depuis quelques jours je n'avais pas pu saluer votre acrostiche de mes sourires... avec quelques semaines de retard c'est désormais chose faite... J'ai ressenti votre once de tendresse poétique... Merci Denis...
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