• d'un ami lecteur

    Monsieur Libéragneugneu,

     

    Sachez monsieur une nouvelle fois, combien vos propos m'exaspèrent. Vous qui prétendez répondre à de hautes aspirations n'êtes somme toute qu'un foireux goujat. Je déclare ici même combien vos émois, qui semblent se situer plus au niveau du rectum que de la partie intelligente et haute de l'individu, ne me m'inspirent que le plus profond mépris.

    Je lis avec effroi vos caricatures délirantes et songe dès lors à prévenir la préfecture (un courrier anonyme) ou quelque asile psychiatrique dont vous pourriez être l'hôte permanent.. J'envisage également d'avertir quelque zoo tropical, où vous pourriez séjourner entre le semnopithèque péteur et le cacatoès éructant.

    Permettez moi, méprisable ordure, de poser cette question bien utile : avez vous en tête autre chose que votre phallus dérisoire ? Se peut il qu'une fois en votre existence vous évoquiez des problèmes hautement spirituels sans les salir de vos railleries indignes ? Hélas, la réponse s'impose d'elle même.

    Je plains sincèrement votre entourage et le voisinage alentour, d'avoir à telle proximité un aussi lugubre con, malfaisant averti, pervers polymorphe et suborneur avéré.

    Vous avez certainement pauvre âne, du jeu dans les rivets, de l'espace entre les neurones et du retard à l'allumage.

    Je ne vous dis pas d'aller vous faire foutre : vous pourriez vous exécuter. Je vous dis seulement « mon cul », et ça n'est pas pour vous l'offrir.

    Espérant vous voir sécher dans un grenier ou croupir dans un égout, je vous ordonne de croire en l'expression de mes sentiments les plus immondes et en ma plus définitive antipathie.

     

    Que le cul vous pèle, que la barbe vous pousse à l'envers et vous étouffe.

     

     

    Signé Roland Culé, écologiste militant

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