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l'amour après la guerre liberamoureux
Je n’ai point en amour d’idée originale
Allant à ce propos comme nombre de mâles
Je rêve de courbe ferme propice à la caresse
Et des lieux parfumés qui vivent près les fesses.
Non que je détestasse la fille bien lubrique
Hyène fort excitée aux caresses subtiles
Qui va sans retenue de son derrière habile,
Et vous flatte le cul pendant qu’elle s’astique…
Je rêve alors que se profile la vieillesse
De conserver longtemps ces envies ces élans
Chaque soir, reposant, ayant quitté mes dents
Que mon cerveau sénile imagine des fesses.
Plus que ruts effrénés, filles dévergondées
J’aspire à retrouver, pour un instant encore
Les émois sans pareil et tellement plus forts
Que seul homme amoureux ressent pour son aimée
Je voudrais même si cela est bien banal
Etre amoureux encore, baigner dans la passion
Adorer vénérer oublier la raison,
Lui offrir tout de moi, sauf le toucher rectal
Pour me complaire encore dans la banalité,
Je dirais que l’amour vaut tous les excitants
Les calmants les remèdes et les euphorisants
Qui vous laissent au matin comme pauvre homme usé
Aurai je encore un jour, cela seul dieu le sait
L’occasion de l’amour, passion déraisonnée
Vous qui êtes bien belle, et moi qui suis bien laid
Me recommandez vous à la veuve poignet ?
Un peu d’amour après l’agressivité du Liberagneugneu… une poésie classique, à conseiller aux étudiants de France.
Quoi qu’vous dites ? Une autre ??
Ok, OK, je commence
« Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. »
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