• précipitez vous sur ce roman

    Je vous livre sans tarder les premières lignes de ce roman qui me vaudra l'estime de tous, corses ou helvètes.

    « Je sentis en l'instant son humeur se changer. Le printemps adorable avait perdu son odeur. Blanche tel un derrière, elle me transperça de l'éclair noir d'un bleu regard. La tendre était devenue rêche telle la serviette de bain au matin sans soupline. Ah comme je l'aimais, bien plus encore que cette nuit, où prostré sur l'oreiller, j'avais observé des heures durant ses lèvres trembloter au grès des ronflements. Elle était mon amour et ma perte, mon avenir et ma mort. Elle pouvait user de moi tel pantin sans cervelle. Mon ange bleu, ma muse, mon unique amour. Pourtant, que me reprocher en ce triste instant. Je voulais bien m'accabler, me perdre à l'infini pour son bonheur mais ça n'est tout de même pas moi qui avais pété aussi fort dans le bus. »

     

    Bon, la suite dans quelques jours. Même un génie a besoin de repos.

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