• Attention à pas s'énerver trop vite... C'est bien humain, l'énervement mais ça fait dire des choses. Les idées en ébullition, on avance des propos infamants, extrémistes, voire discourtois pour ne pas dire disgracieux. Et dieu, là haut, nous juge . Et dans quelques temps, il va nous faire payer au centuple chaque putain de gros mot inutile.

    Alors gare. Je pèse mon vocabulaire, pourtant pas si lourd.
    Les fautes du raisonnement me peinent, moins que les coups de pied dans les couilles mais tout de même.

    J'ai entendu à la radio quelque grande intellectuelle qui voyait dans les cyclones aux USA la main de dieu. Elle mélangeait tout la madame, ignorant combien le scénario était hélas craint depuis trois siècles, combien la gauche américaine écolo avait interdit toute digue inesthétique préventive, combien le maire de la Nouvelle Orléans avait perdu de temps avec ses bus.... (http://www.conscience-politique.org/2005/castellionkatrina.htm).  Bref, elle était aveuglée par sa haine et sa bêtise franchouillarde anti buuush. Elle reprenait les propos d'obscurs islamistes (j'ai pas dit musulmans mais islamistes...) et autres entêtés irresponsables. Ils ont le droit de délirer...

    Et là, paf : tempête en Amérique centrale. La main de dieu a du déraper, et on lui pardonne, tant Amérique Centrale et sud des USA sont proches. Il fait ce qu'il peut le créateur divin. Un degré ou deux et boum, il nous anéantit par erreur. Pet sur la terre.

    Quelques jours passent et horreur absolue : la terre tremble chez les Pakos. Les écoles s'effondrent, les enfants meurent par milliers. J'imagine ma fifille, huit ans, sous le terrassement.¨Parce que j'en ai vu des écrabouillés, aux urgences : c'est bien moche. La terre passe sous la peau et fait gonfler les extrémités bien affreusement.

    C'est pire que pire mais je ne parle pas du drame : je commente les commentaires. Assez discrets. Plus de main de dieu ou allah. Silence. Sauf dans les journaux français, bien entendu. Le drame pakistanais est ignoble mais « naturel », y lit on parfois. La main de l'homme ne l'a pas déclenché. Autrement dit, les américains l'ont cherché et l'ont eu. Pas les Pakistanais.

    Bien sûr, c'est moins laid que 30 000 morts mais quand même. C'est bien bas, en dessous du zéro. L'aveuglement, le déni, l'irraisonnable. Le cloaque intellectuel...

    A la façon de Voltaire, je veux bien crever pour que mon pire ennemi puisse exprimer ses idées.

     

    Mais putain ça fait mal aux oreilles.

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  • Monsieur Orsantò Miccanomi 

    Je ne saurais aller aucunement en votre sens.
    Non que je fusse incapable de reconnaître avoir injurié un peuple ( ???). Je veux bien reconnaître avoir manqué de respect envers l'univers. Ca n'est pas le problème. Le hic est en vos procédés. Vous êtes une insulte à toute forme d'injuriologie et je vous rappelle les références du traité de Robert Eluard (Traité d'Injuriologie, 10/18).
    A la façon de votre ami Paoli, vous pouvez me traiter de tout et j'y répondrai dans l'honneur de la belle insulte (en râleur libéral). Ainsi, ne modérant jamais son impétuosité juvénile (son sens de l'orthographe montre qu'il a quitté tôt les bancs d'une école qu'il a peu fréquenté (il me dira s'il faut un « e » à fréquentée)), me traite t il de façon récurrente d'inverti ou de sodomite. Cela relève quasiment du phantasme projectif et l'on peut se demander si cette amie qu'il mène sur les plages immaculées de la plus belle île du monde n'a pas de grosses couilles bien poilues. Bien entendu, je ne lui dirai pas mon hétérosexualité bien banale, ce qui le priverait des ¾ de son argutie et ferait baisser les stats de mon blog.... Je sais.. C'est très facile tout cela, mais cela détend, et rien ni personne ne lui interdit, au Paolo, de me répondre sur le même ton. Aucun message n'est par moi supprimé.
    A l'inverse, si l'on me menace de procès pour mes opinions, on commet un crime. Je ne suis pas écrivain, ou penseur, je le sais bien.. Mais je tiens à mes petites pensées. Qu'un Pol Pot, qu'un Fouquet Tinville, un médiocre fonctionnaire visqueux et sanguinaire brandisse sa guillotine envers quiconque n'est pas de son avis  ne mérite aucune défense. Ce sont là des principes de petites gens, d'envieux ras du plafond militants d'associations de quartiers et autres « anti racistes ». Des la cgtouille bien gluante, bien collante et bien merdique. Le mal absolu en fait de la Race humaine et de l'intelligence. C'est du Trotsky, du Goebels, de la philosophie d'enculé de fonctionnaire de la mort.

    Evidemment, j'entends vos développements sur les chartes, la loi, le putain de respect du à ceux qui ont le pouvoir aujourd'hui. On connaît, on connaît... L'histoire regorges des fossés de cadavres que firent ces discours. Alors j'en reste là bien impoliment.

     

    Je répète par ailleurs pour qui cela intéresse que je prends les Corses comme n'importe qui : c'est le mouvement de garrottage de la population et le fascisme des « autonomistes » qui me donne envie de tuer la belette.... Je sais que tous les Corses ne l'apprécient pas. A part ça, les helvètes, les basques ou aztèques, je m'en branle...

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  • Monsieur l'inquisiteur corse appelle du haut de sa grande morale à ce que je me défende de propos bien anodins. Oubliant ou plutôt ignorant les principes de la joute verbale, il attaque de tout son fiel, de toutes ses aigreurs mal ravalées, de ses procédés visqueux et glauques mais tellement échaudés en ce pays.

    Ainsi cite t il mon nom : grande trouvaille... quel informaticien de génie. Il le jette aux foules, comme certainement il le dénoncerait aux milices. Au moins ai je le courage de ne pas m'affubler d'un patronyme aux odeurs de soit disant corsitude, en réalité taillé pour l'anonymat d'un être sans courage.

    Ma tête ne vous revient pas ? Au moins la portai je et la montrai je.  Comment donc est la votre ? Ah, je le pressens : une chaussette noire avec deux orifices pour les orbites... encore et toujours le courage. Affichez la sur votre site : cela vous vaudra peut être quelque réaction d'hypothétique lecteur dont vous semblez cruellement manquer. Il faut dire que l'indigence des vos propos  rebattus n'a d'égale que la médiocrité de votre style plat comme l'horizon. « Ame débile et sans culture » disait le saint auguste...

    Les procédés enfin : vous avancez la loi, que vos amis meurtrissent chaque jour. Vous me la plantez sous le nez tel le fonctionnaire de la guepeou,  le défenseur de la ligue de vertu et de la morale blanche, le preux chevalier des plus hautes valeurs... Vous eussiez fait fortune durant les années noires.

    Ah, fort heureusement, je sais que vous ne représentez pas tous les Corses. L'intelligence est justement répartie en ce bas monde. Vous étiez simplement en grève le jour de la distribution. Vous, on vous a donné la bêtise crasse, la violence et le fiel.

    Alors poursuivez, attaquez, diffamez, dénoncez... Cela ne changera au fait que n'êtes qu'un merdophage, un concacatus, une sale engeance de tartuffe.

    Bien entendu, et selon le texte que vous rapportez si justement, tout cela n'atteint en rien la droite ligne morale que vous définissez ainsi :

    « Enfin, si le médecin exerce d'autres activités que la médecine, celles-ci ne doivent avoir rien d'immoral ou de suspect, notamment quant à la probité et aux bonnes moeurs»

     

    Maréchal, nous voilà........

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  • Le poète subtil, le penseur définitif, se moque bien du glaviot bien jaune qui colle à sa semelle.

    Le cerveau se nourrit d'émotions divines : il se trouve que dieu m'a touché de sa grâce..

    J'ai tourné durant une matinée avec un pote et son cateram à Nogaro. J'ai vu l'éternité et la grâce que dieu fit. Ah les courbes, les freinages... avec mon Hornet, je jouis des mêmes purs instants ou du moins le pensai je. Le bonheur de la trajectoire idéale, du freinage tardif, de l'arrière qui sautille, du moteur qui hurle bien rauque. Le risque de se foutre dans le rail, le souci de le raser de près.

    Le reste est bien épais, bien pénible, bien pitoyable.

    Je ne me nourris que de pures sensations. Le quotidien me pèse, le réel me plombe et me harcèle.

    Je vous le dis commac : je suis subtil comme le roseau qui ploie au vent. Léger comme l'esprit. Pourtant, tel l'albatros, je dispose de bel organe.

    Mes pensées sont si pures et ma bite si tendue quand porté par la grâce, je la plante dans dindon bien gluant.

    Ah dieu m'a effleuré de sa délicatesse...

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