• Liberagneugneu modifie radicalement et définitivement son orientation dès aujourd'hui, et qu'on se le dise. Fi des grandes pensées et des cimes de l'intellect philophico théologique...
    Ce site va devenir le plus faisandé pourvoyeur de ragots malodorants du Nait (prononcez net).
    Nos politiques, ces lubriques glaireux, ont envahi l'essentiel, la moelle de notre Information : la bénie télévision, la sainte radio et les évangiles baveuses. Nous souhaiterions sans façon que chaque être politique aie la bonne et louable intention de se brûler la cervelle dans les cabinets mais cela tarde à venir.<?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:P></O:P>
    Alors dans sa grandeur Liberagneugneu a t il décidé d'aider nos décideurs à franchir ce cap.
    En pourvoyant des ragots aussi véridiques que puants...
    Attention, âmes sensibles, refluants chroniques et diarrhéiques récidivants s'abstenir : l'affaire est sérieuse. Tout ici est vrai...<O:P></O:P>
    Que courre le ragot, que vole la médisance, et pis on verra bien...<O:P></O:P>
    Commençons par MSR...<O:P></O:P>
    1973, les bancs de l'ENA. Au plus près des bancs de l'Ena, cette école où l'on apprend comment pourrir la vie du citoyen, combien le harceler pour le détrousser, que le chef de la bande fut François, Jacques ou Jean Marie... <O:P></O:P>
    Alors que les élèves, sensés souffrir pour le bien public, s'affairent sur leurs cahiers à spirales, retentit le son caractéristique d'un pet claqué (cf : )<O:P></O:P>
    Effroi parmi les impétrants... La maîtresse, outrée, se lève comme un seul homme (oui, je sais). Les lèvres blanches, la mâchoire contractée :<O:P></O:P>
    « Qui a p.. »<O:P></O:P>
    C'en est trop, c'est une infamie, songe t elle inhibée en l'instant.<O:P></O:P>
    « pété ? » ajoute t elle.<O:P></O:P>
    Silence dans les rangs : l'Enarque sait se faire Tartuffe, que sait il d'ailleurs d'autre ?<O:P></O:P>
    Mais qui donc , Oh Dieu ?<O:P></O:P>
    Silence (le même)<O:P></O:P>
    L'affaire eut pu en rester là. Si Gneugneu n'avait pas existé. Hin, hin, rêvez, bourreaux de nos administrations. Ces temps sont révolus.<O:P></O:P>
    Liberagneugneu est en mesure de vous révéler gratuitement comment les fesses de Marie Ségo la Prude ont ce jour là claqué comme gifles.<O:P></O:P>
    L'affaire est affreusement simple, épouvantablement humaine et sordide à souhait. Du pur vice à l'odeur de souffre...<O:P></O:P>
    Lisez demain, après inscription du numéro de votre carte bleue, la suite de ce fait répugnant.<O:P></O:P>
    Après quoi nous vous dirons comment Nicolas a pu sans broncher mollarder dans la soupe Madame C., première femme de France, comment François a pu subtiliser l'honneur d'une jeune vierge et combien Jean Marie pue des pieds.<O:P></O:P>
    Elevons mes amis nos esprits au delà des miasmes morbides de cette campagne malodorante.<O:P></O:P>
    Amen<O:P></O:P>

    2 commentaires
  • Revoici les guitounes, les cahutes de bois aux périphéries des villes.



    Toutes les grandes villes s'étaient affranchies de leurs bidonvilles. Enfant, j'ai vu mourir les baraques à putes de Mériadec.. Bulldozer et circulez, les croqueuses... C'était à l'autre siècle. Les pauvres venus des campagnes pour l'industrialisation avaient laissé leurs places aux immigrés italiens ou polonais ou maghrébins... Puis un jour, on a brûlé les gourbis pour construire de lisses esplanades, ornées de bassins et de tours... Adieu les glaireux... On vivait en France quoi, mille charognes de trou du cul...



    Mais poursuivant une longue tradition socialisante de déflation mortifère, à force d'impôt sur le revenu, de 40 heures, de fatras de réglementations kafkaïennes, d'interventionnisme sans pareil, et alors que le tiers monde se sortait de la boue marxiste, la France a fini par perdre ses économies, sa richesse et même l'envie d'en produire.



    Alors retour aux cabanes en bois pour les plus malheureux.



    Trop de taxes, trop de lois, trop de fonctionnaires (5 fois plus qu'en Angleterre)..



    Une technocratie aux raisonnements éculés, une piètre classe politique accaparatrice et corrompue et retour à la case départ..



    Et puis les salariés. Certains en tous cas, les torts étant généralement partagés.



    Tiens, regardez Moulinex : le bel exemple.  Les syndicats ont tellement oeuvré dans de fausses directions, l'état est tellement intervenu de sa puissante bêtise, dans un pays où le droit du travail tue l'entreprise, que ce qui devait arriver a bien eu lieu.. Des entreprises sans salarié ne sont rien, dit la CGT mais des salariés sans entreprises sont ils plus malins ?



    Non contents d'avoir tué Moulinex, leur gagne pain, ils attaquent maintenant pour quelque pièce du cadavre, quelqu'argent bien faisandé, s'assurant ainsi qu'aucune autre entreprise ne viendra remplacer Moulinex. Faudrait pas avoir inventé le calcul vectoriel pour réengager les cgtistes, ces tueurs de richesses, charognards de l'industrie.



    Et puis dans le genre, regardez Perrier...



    Quand il ne restera qu'une usine, ils lui feront encore mettre genou à terre : c'est leur jouissance dans la vie..



    Ah Jaures, qui disait :

    «Non, en vérité, le patronat, tel que la société le fait, n'est pas une condition enviable. Et ce n'est pas avec les sentiments de colère ou de convoitise que les hommes devraient se regarder les uns les autres mais avec une sorte de pitié réciproque qui serait peut être le prélude de la justice. »


    Tiens, lui ne n'aboyait pas « j'aime pas les riches » comme d'autres « j'aime pas les chrétiens »...

     


    Bon, ben moi, la cabane, je l'aimerais peinte en bleu, près d'une rivière, façon marine... Un plume et quelques kils de rouquin.



    Et puis la paix, alors.. Personne, vraiment personne non d'une vérole.



    Marre de la populace.



    Je crois que je deviens philatéliste, comme dans la pièce de Molière.

    Je deviens cafardeux devant la bêtise.

    11 commentaires
  • Vous avez vécu comme atrocement humiliant de voir la France éternelle se passer de lumière, c'est à dire de progrès et donc d'humanité. Encore un diktat atterrant  des nazicologistes.



    N'importe quel crétin même mal éclairé peut se renseigner et vérifier que le réchauffement de la planète est du à l'activité solaire, et non aux pauvres activités humaines. Il sera malaisé de la déconnecter, celle là, ne serait ce qu'une seconde.



    D'où le choix écolo de se rabattre sur le CO2.. Ces pauvres anencéphales...
    Liberagneugneu s'inquiète pour l'humain, se bat pour l'intelligence et exècre la vulgate écolo et ses conseils de boys scouts en manque de lumière.


    Aussi, avant que les verts abrutis n'exigent que vous ne respiriez qu'un jour sur quatre ou ne pétiez que les 30 février des années impaires, Liberagneugneu vous propose t il quelque instant de détente...



    Un dernier instant...



    En toute innocence :



    Le 9/02/07 : de 19 heures 55 à 20 heures, roulez sur le pied d'un écolo avec votre 4*4. Et n'oubliez pas la marche arrière...



    Le 3/03/07 : de 19 heures 55 à 20 heures, extirpez de votre appendice nasal un ce ces loups gluants et verts dont vous possédez le secret et collez le sur la moustache d'un écolo. Ils en ont tous une : Bové, Voinet... Ces simples d'esprit aiment à ajouter au grotesque de leurs raisonnements le ridicule d'une motte de poils mal positionnée ... 100 points à celui qui touche la langue.



    Le 4/04/07 : organisez un concours de pets à la réunion du GERC, cette formation néonazie dont le monde scientifique se moque à juste raison....



    Le 05/05/07, de 19 heures 55 à 20 heures, faites un toucher rectal à toute personne qui aborde le sujet du réchauffement de la planète :



    « Ah, on va tous mourir brûlés par la chaleur de la montée des océans arctiques... »



    Enfin, vous voyez quoi : on entend ça tous les jours.

     
    Mais n'oubliez jamais : ces demeurés sont en train de gagner la partie. Et ça, c'est définitivement triste...

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